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L'Abbé Grégoire
Ecclésiastique et homme politique français, défenseur
de l'émancipation des Juifs pendant la Révolution
française, qui fut le premier à prêter serment
à la Constitution civile du clergé.
Né à Vého, en Lorraine, Henri Grégoire,
fils d'un modeste artisan, fit ses études chez les jésuites
de Nancy puis au séminaire de Metz. Ordonné prêtre
en 1775, curé du petit village lorrain d'Embermesnil à
partir de 1782, il n'hésita pas à voyager, notamment
en Suisse et en Allemagne, et à se tenir au courant de
la vie intellectuelle de son époque. En 1788, il publia
son Essai sur la régénération physique, morale
et politique des Juifs, dans lequel il réclamait pour cette
population alors tenue en marge un statut lui conférant
une véritable dignité. Élu député
du clergé aux États généraux de 1789
, il fut l'un des premiers membres du clergé à rejoindre
les députés du tiers état. Très actif
lors de la nuit du 4 août, il demanda vainement, lors de
la discussion préparatoire à l'adoption de la Déclaration
des droits de l'Homme, que fût également élaborée
une déclaration des devoirs. En septembre 1791, il réussit
à faire consacrer le principe de l'égalité
civile des Juifs.
Le premier à avoir prêté serment à
la Constitution civile du clergé, il fut élu évêque
constitutionnel de Blois en 1791 ; la même année,
il fut envoyé par le département du Loir-et-Cher
à la Convention, où dès la première
séance, il se prononça pour l'instauration de la
République. En 1793, pourtant, envoyé en mission
à l'armée du Mont-Blanc, il écrivit à
la Convention qu'il refusait de voter la mort du roi, restant
fidèle à l'opposition qu'il avait manifestée
à l'endroit de la peine capitale.
Incessante, son action se développa en faveur de la promotion
du français, qu'il voulait rendre obligatoire dans l'enseignement,
l'unité linguistique devant selon lui faciliter la cohésion
de la République, mais également en faveur de l'instruction
publique (il fut à l'origine de la création du Conservatoire
des arts et métiers, du Bureau des longitudes et de l'
Institut de France , dont il fit partie) et de la lutte pour l'égalité
: c'est à son initiative que fut votée, le 4 février
1794, l'abolition de l'esclavage.
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